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°°°AMOUR TROUBADOUR°°°
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10 novembre 2011

retour***

                                                 (1968)

Viens voir mon pays 

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Viens , j'aimerais te faire connaitre mon pays.

Je te montrerai la beauté de cette ile enchanteresse.

Viens le voir en Automne

Où murissent les fruits dans les buissons piquants.

Et puis dans les rochers arrosés par la mer

Nous guetterons ensemble

La sole rapide et la crevette agile.

Viens le voir en Hiver

Quand un climat si doux réchauffe tous les coeurs.

Et que les huitreS montent sur toutes les tables.

Viens le voir au Printemps

Quand le mimosa remplit les coquets jardinets.

Viens le voir en Eté

Quand les genêts en or couvrent tous les sous-bois.

Viens nous nous aimerons

Tandis qu'au firmament montera 

La première étoile de la nuit.

                              E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                                  (1968)

Il faudrait 

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Il faudrait que le vent

M'apporte un mot de toi;

Il faudrait que le vent

Soit notre confident.

 

Il faudrait que la pluie

Dissimule mes larmes.

Il faudrait que la pluie

Hydrate encore nos coeurs.

 

Il faudrait que le soleil

Revivifie mon âme.

Il faudrait que le soleil

Dore encore nos amours.

 

Il faudrait que la vie 

Nous réunisse un jour.

Il faudrait que la vie 

Sourie à tous les deux .

 

Il faudrait que la mort

Ne nous sépare jamais,

Il faudrait que la mort

Nous prenne ensemble un jour.

                                          E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                                                              (1968)

Déjà plus

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 Je ne Je ne suis déjà plus

Je ne sais pas pourquoi 

Plus aussi près de toi

Qu'il y a quelques mois.

 

Je ne vois déjà plus 

Le reflet merveilleux

De tes yeux assoiffés 

De bonheur et d'action.

 

Je ne sens déjà plus 

Ton ombre près de moi

Car notre Amour s'estompe

Et je suis malheureuse.

 

Je ne pense déjà plus 

A ces moments heureux

Où tu passais ta main 

Dans mes cheveux salés.

 

Je ne crois déjà plus 

Aux mots charmeurs et doux

Que tu m'as adressés 

En me tenant les mains .

 

Il semble maintenant

Que mon âme éplorée

De ne pas te revoir 

Se tourne vers un autre .


Mais je veux à présent

Si notre Amour finit,

Qu'il demeure à nos yeux 

Le symbole du Bonheur

                            E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                          (1968)

Déception

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Depuis un court instant mon esprit vagabond

M'avait donc entraînée au fond de St Trojan.

Je cherchais comme toujours

Les jours où tu étais assis à mes côtés.

Mais hélas comme toujours

Quelque chose ou quelqu'un 

Me ramenait alors à la réalité.

Aujourd'hui une lettre , je crus que c'était toi.

Mon sang ne fit qu'un tour

Mais hélas déjà je n'avais pas reconnu

Ta splendide écriture.

Déçue je repartais sur les vagues et sur l'onde

Vers ce pays perdu où je t'avais aimé .

                           E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                                  (1968)

La nuit

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Lorsque j'essaye en vain

D'oublier ton image

Je sens alors vtes mains

Caresser mon visage .

 

Et je ne te fuis plus .

Je ne cherche même pas 

Dans mon âme éperdue

A m'éloigner de toi.

 

J'aime alors tes sourires

Ton reegard pénétrant

Ton coeur en délire

Et ton charme envoûtant.

 

Je rêve je le sais bien,

Mais j'aime la féérie.

J'aime ce monde où un rien 

Peut avoir  une vie...

 

Et j'aime ce pays

Parce que je t'y rejoins

Et là tous mes amis

Viennent me tenir la main.

 

Loin de toi je suis perdue

Je souffre et je m'ennuie.

Mais je ne te quitte plus 

Lorsque revient la nuit

 

Car transportée alors 

Dans un rêve éphémère

Conduite par des fils d'or

Juste au dessus des mers .

 

J'approche lentement

A travers les nuages;

Tes bras s'ouvrent lentement 

Mais ce n'est qu'un mirage.

                                 E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                          (1968)

Mélancolie

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Jamais tu n'aurais dû 

Me griser de ta flamme

Mais l'Amour a voulu

Que tu prennes mon âme.

 

Le charme de tes yeux

Ton sourire enchanteur

Seuls ces faits malheureux

Suffirent à mon bonheur.

 

Une parole de toi 

Et je ne dormais plus ,

Déjà tu étais là 

Dans mon coeur éperdu.

 

Le nuit je m'éveillais 

Et j'ouvrais la fenêtre

Sous le ciel étoilé

Pour te voir apparaitre .

 

Mais ce n'était qu'un rêve

Un moment de plaisir

Ton image était brève

Court était ton sourire.

                                 E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                                 (1968)

L'Attente 

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Il n'est que mardi soir

Mais mon coeur plein d'espoir

Vient en un court quatrain

Te chanter ce refrain.

 

Je t'entends, je te vois

Je crois que tu es là

Mais lorsque je m'approche

Au vide je m'accroche.

 

Et longuement je pense

A cette longue absence

Aux jours maudits et longs

Qui semblent pourtant bons.

 

Car au bout du chemin

Il n'y a plus de chagrins

Plus de ces pluies troublantes 

Mais la joie et la détente.

 

Et bien plus que la joie

Je sais que tu sauras

M'apporter les beaux jours

Dont je rêve chaque jour.

                                        E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                            (1968)

J'aimerais 

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J'aimerais sentir ton coeur 

Battre contre le mien.

J'aimerais tant la chaleur 

De ta main dans ma main .

J'aimerais voir tes yeux

Les regarder sans cesse.

J'aimerais te sentir heureux

Et mon coeur en frémirait.

Si tu savais à cet instant

Comme j'aimerais que tu sois là.

Non je ne suis plus une enfant,

Viens me prendre dans tes bras .

Je t'aime, je ne m'en cache pas

Car je sais que tu m'aimes aussi.

Et lorsque tu lme reverras

Tu m"emporteras loin d'ici .

                                      E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                   (1968)


Soirs d'été

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Soirs d'été inoubliables

Doux parfums de l'été

Dans les dunes les cigales

Leurs ailes font crisser.

 

Soirs d'été incomparables 

Sous les cieux étoilés,

Sous les lampes des bals

Les jeunes vont danser.

 

Soirs d'été que j'adore

Dans les rues du village

Tous et toutes sont dehors

Femmes, vieux de tous ages .

 

Soirs d'été fantastiques 

Amour, aamis,gaité,

Rien ,rien n'est comparable 

Aux douces nuits d'été .

                                 C.C.

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10 novembre 2011

retour***

                                                         (1968)

Je t'aime 

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J'attends, je tourne

Je ris , je pleure 

Je pense et rêve

Je t'aime .

 

Je te regarde, je t'admire

je te trouve tout 

Les autres rien 

Je t'aime.

 

Je lis , je relis des poèmes

Oui c'est pour toi

Je pense à toi

Je t'aime . 

                                    E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                                         (1968)

J'y repense

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Allongée dans les dunes 

Les cheveux dans les yeux

Du sable dans la bouche

Je repensais à toi

Qui , quelques jours plus tôt

Etait au même endroit 

Assis auprès de moi.

Maintenant j'erre triste 

Sur ce sable chaud

Où quelques jours plus tôt

Nous marchions tous les deux

Côte à côte en pensant 

A cet instant tragique 

Où nous nous quitterions.

A présent tu es parti,

Et je reviens tous les jours 

Dans ces dunes chaudes

Où je revis encore

Ces moments merveilleux .

                             E.B.

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10 novembre 2011

retour***

                                      (1967)

La Fin

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Mais pourquoi nous sommes nous fâchés?

Tu n'as donc jamais pu comprendre

Que c'était cela nous aimer ? 

 

Mais maintenant que je te fuis 

Tu fais tout pour me rencontrer.

Je ne suis plus celle d'autrefois .

 

Mais maintenant quand je te vois 

J'ai comme envie de t'appeler

Et puis te demamnder pardon 

Pour tout le mal que je t'ai fait.

 

Mais à présent il est trop tard

Pour revenir sur mes pas.

De notre amour c'est le soior

Je ne t'en reparlerai pas.

                               E.B.

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9 novembre 2011

retour***

                                                   (1968)

 

Pendant combien de temps ?

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Pendant combien de temps

Devrai-je attendre encore

Avant de retrouver

Ton visage d'enfant ?

 

Pendant combien de temps

Aurai-je à patienter

Avant d'entendre encore

Le doux son de ta voix?

 

Pendant combien de temps

Ne sentirai-je plus

Ta tendre main se poser

Autour de mes épaules ? 

 

Pendant combien de temps 

Seras-tu loin de moi

Sans pouvoir consoler 

Mon coeur douloureux?

                            E.B.

Attendre


9 novembre 2011

retour***

                                                                        ( 1968) 

Un Court Instant

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Ce soir-là tous les deux

Nous marchions côte à côte.

Nous étions amoureux.

Je sentais ton regard 

Se poser doucement sur moi.

Sans rien dire je te regardais .


Puis nous nous arrêtions un court instant.


Alors je rougissais 

Et notre marche reprenait.

Tu me parlais doucement ,

Moi je ne disais rien .

Tu marchais trop vite ,

Et j'étais fatiguée.


Et nous nous arrêtions, un court instant.

 

Assis sur le sable encore chaud 

Tu me protégeais du vent.

Puis nous repartions.

Mais quand je sentais

Ton bras sur mon épaule

Je croyais porter 

Un collier de fleurs

Et mes pas devenaient

Plus rapides, plus alertes

Et tu riais


En m'entraînant un court instant.


Puis tu revenais à la réalité,

il nous fallait rentrer.

Hélas dans ma vie 

Ces heures n'avaient été 

Qu'un court instant .

                          E.B.


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9 novembre 2011

retour***

                                         (1968)


Les deux moitiés

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Lorsque je sentais ton coeur 

Battre auprès de mon oreille,

J'avais une envie folle

De m'en emparer en secret.

Ce que je fis un jour

Sans que tu t'en rendes compte.

Je me trouvais si bien 

Avec ces deux coeurs

Qui ne formaient plus qu'un

Et qui battaient dans ma poitrine.

Mais toi tu dépérisssais.

Chaque jour quand je te voyais 

Je croyais voir ton ombre ,

Malheureux, le vague à l'âme.

J'avais une envie folle de te rendre ton coeur .

Alors je t'avouais mon larcin,

Les larmes aux yeux.

Mais ces deux coeurs s'aimaient

Et il était impossible

De les séparer sans douleur.

Alors je lui donnais 

La moitié de ces deux coeurs 

Qui battaient dans ma poitrine.

Aussitôt dans la sienne 

Ces deux moitiés de coeurs

Se mirent à battre follement .

Et depuis ce jour, nous vivons

Chacun avec la moitié 

Du coeur de l'autre .

                        E.B.

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9 novembre 2011

retour***

                                                                        ( 1968) 

Jalousie 

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Ce jour là j'aurais aimé

Que tu me prennes par la main.

Hélas ce jour là

Je me retrouvais solitaire 

Rongée par la jalousie

Sur le bord des vagues en colère .

Je rageais en moi-même 

Et le bruit fracassant des vagues

Couvrait le cri

De mon coeur éploré.

Je la voyais là-bas

Près de toi, souriant,

Te parlant doucement.

Et moi désespérée

Je marchais seule au bord de l'eau.

Michel, Michel, pleurais-je

Pourquoi elle, sanglotais-je.

Je te fuyais effondrée.

Notre merveilleux amour

Finissait dans les larmes 

A cause de ma meilleure amie.

                                            E.B.

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9 novembre 2011

retour***

                                                                                                                                                                            (1968)

Mon Coeur

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Tu es parti avec mon coeur.

Comme je regrette cves momlents 

Où tu posais tout doucement 

Ta douce main sur mon épaule.

Il ne me reste à présent

Que la douce sensation

Que tu laisses après ton passage.

Longtemps tu as cru qu'avec moi

Cela ne pourrait pas durer 

Et tu as emporté mon coeur.

Ces heures sont passées, François

Et tu ne peux conserver 

Ce coeur qui ne t'appartient pas 

Indéfiniment avec toi.

Je comprends que tu aies du chagrin.

Quand tu seras parti, François 

Il ne me restera 

Pour me parler de toi 

Que ce coeur lourd et douloureux .

                                   E.B.

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8 novembre 2011

retour***

                                ( 1968)

 

J'erre

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Depuis combien de jours

Depuis combien de nuits

Ma joie est-elle éteinte?

Depuis que je t'ai quitté.

Cela fait longtemps 

Que je ne pense qu'à toi.

Je pleure à cause de toi,

Je ne vis que pour toi.

Maintenant dans les rues ,

J'erre trop malheureuse

Pour continuer cette vie 

Morne et triste sans toi.

Et de puis de longs mois 

Je n'ai trouvé personne 

Pour me parler de toi.

Et le Quartier Latin

Qui t'a emprisonné 

Dans ce grand bâtiment ,

Me console souvent 

Lorsque je le supplie 

De t'en faire sortir.

Mais pour me chagriner

Il ne me répond rien.

Et à nouveau moi j'erre

Autour des quatre murs 

Où tu es enfermé.

                                 E.B.

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7 novembre 2011

retour***

                                                 (1968)

Incompréhension

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Pourquoi as-tu cru ce soir là

Que je ne voulais pas t'aimer?

Et maintenant il est trop tard,

Tu vis malheureux dans l'erreur.

Toi non plus tu n'as pas compris

Combien était grand mon amour.

Tu étais contre moi, tout contre,

Tu me parlais tout doucement 

Mais moi je gardais le silence .

Puis comme toute chose a une fin

Tu es reparti un matin

De ton côté amèrement .

Pendant longtemps tu n'oublieras

Ces doux moments passés ensemblke.

Mais pourquoi vivre si loin de l'autre 

Puisquer nous ne pouvons résister 

A cet amour qui nous envoûte?

                               E.B.

Amoureux


6 novembre 2011

retour***

                                                                  (1968)

Cauchemar

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Non ce n'est pas possible

Cette nuit, dans le brouillard

Implorant, suppliant, je t'ai vu

Séparé de moi par un fossé.

 

D'une main tu tenais 

La main potelée d'un enfant 

Blond qui te ressemblait.

De l'autre un annean d'or.

 

Mais un tourbillon t'emporta

Toi, l'enfant et l'anneau 

Disparurent en fumée

Dans le précipice.

 

En sursaut je me réveillais 

Et je trouvais sur l'oreiller

Une mèche de cheveux blonds.

Ils sont à toi , tu  es venu.


J'ai désespéré, j'ai espéré

Jusqu'à la dernière heure 

Mais trop tard ,

Tu étais parti .

             E.B.

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